Randonnée
L’itinéraire :Une fois la montagne gravie, on observe à son sommet les vestiges d’une ferme de croisés datant du 12e siècle apr. J.-C.. La ferme avait probablement été créée par un noble européen du nom de Johannes Guttmann connu comme étant le propriétaire du cheval le plus rapide du royaume, ce qui n’a pas empêché sa capture par les musulmans.
Sa famille a dû vendre la propriété de Bayt 'Itab à l’église du Saint Sépulcre pour le faire libérer.
Le bâtiment fortifié a été bâti sur une colline de 665 m de haut.Plus tard, un village arabe du nom de Bayt 'Itab y fut créé.Il était également là pendant le mandat britannique.Au sud-ouest, un bosquet d’eucalyptus a été planté dans le paysage du bois naturel.
Ces arbres ont été plantés par l’armée britannique au cours de la période britannique sur la route reliant Emek Ha'Ela et Bayt 'Itab. Ils servaient de relais routier aux soldats britanniques.
Le village arabe de Bayt 'Itab a été abandonné pendant la Guerre d’indépendance.
Des vestiges du village arabe, des terrasses, des bosquets d’amandiers, des figuiers, des grenadiers, etc. sont dispersés dans la région.
Au-dessus du toit du bâtiment, vous pourrez profiter d’une vue à 360 degrés de la plaine côtière et des collines de Jérusalem, du Moshav Bar Giora et de Nes Harim.
Quoi d’autre ?Dans l’aire de stationnement, une aire de jeux pour enfants, des bancs et des tables de pique-nique ont été aménagés.
L’itinéraire démarre à l’aire de stationnement.Il est recommandé de commencer le parcours sur la piste marquée en rouge et de revenir sur celle marquée en noir.
Promenez-vous dans l'oued sur une distance d'environ 200 mètres jusqu’aux jalons de KKL-JNF, puis tournez à gauche sur la colline.
Après une courte marche, vous parviendrez à une pelouse naturelle sur laquelle débouche une grotte.
Après avoir visité la grotte, vous continuerez votre ascension de la colline à travers un bosquet naturel jusqu’à la colline suivante où est érigée la Forteresse des Croisés de Bayt 'Itab.
L’entrée de la forteresse est interdite à cause des fouilles archéologiques et du risque d’effondrement.